dim. Déc 8th, 2024

Le site Confrérie de la Divina Pastora et de Santa Marina a publié ce mardi un manifeste contre la nouvelle loi sur l’avortement (IVE) approuvée le 16 février dernier par le Congrès des Députés espagnols. À cette occasion, la corporation de la gloire a publié une déclaration dans laquelle elle appelle les autorités compétentes – dans ce cas, le gouvernement espagnol – à reconsidérer les réglementations étatiques qui protègent le droit à l’avortement. « la culture de la mort ».. Une intention pour laquelle il demandera dans un masse qu’il célébrera dimanche prochain dans sa chapelle.

Dans ce manifeste (approuvé par l’assemblée des officiers), la confrérie rappelle les nouveautés introduites par la nouvelle loi, parmi lesquelles, que les jeunes femmes qui ont atteint l’âge de 16 et 17 ans peuvent se faire avorter à l’insu et sans l’accord de leurs parents.. Pour la corporation, cette extension est  » un pas en arrière dans la valeur de la vie qui avait été promue par la réforme de la loi 2/2010 approuvée en 2015 « . « Une question morale insurmontable ».comme la fraternité pastorale originelle l’a définie.



« Cette question et d’autres, loin d’accorder une plus grande liberté aux mères enceintes, prolongent le processus de relativisation de la viequi ont déjà initié des lois pour la fin de la vie humaine par l’euthanasie, légalisée en 2021″, ajoute la lettre.

Une loi qui « protège la culture de la mort ».

La confrérie, « de sa juste place dans la société », demande aux autorités législatives, « dans les plus brefs délais », de reconsidérer cette loi qui « protège la culture de la mort » face à la prise en charge et à la prédominance de la vie humaine de la conception à la mort naturelle.

« Nous invitons les forces politiques à revoir les paramètres à partir desquels cette loi a été dictée afin que le droit à l’existence prime à nouveau sur les droits particuliers de ceux qui peuvent se sentir propriétaires et juges de la vie d’autres êtres humains », indique le manifeste. « Nous élevons des prières à Dieu le Père, Seigneur de la vie, par l’intermédiaire de Marie Très Sainte, Divine Bergère de nos âmes, qui a accueilli en son sein la personne du Christ, notre Seigneur, afin que ce scénario juridique change grâce à l’intervention des gouvernants dans la prise de décisions qui protègent la vie des enfants et des mères », poursuit le communiqué.

La corporation pastorale priera pour cela lors de la messe qui sera célébrée dans sa chapelle de la rue Amparo le 5 mars, deuxième dimanche de Carême, lors d’une eucharistie qui commencera à 20h00.

By Nermond

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