lun. Nov 4th, 2024

La polémique est servie. La demande de la délégation du gouvernement d’Andalousie à Séville, responsable du plan Romero dans la province, pour que la rivière Guadiamar, qui traverse la région de Triana, puisse être acheminée jusqu’à Triana. gué de Quema (Aznalcázar) a l’eau quand elle est traversée par hermandades rocieras dans le prochain pèlerinage a suscité de vives critiques de la part des partis politiques, des associations de défense de l’environnement et de nombreux citoyens qui trouvent incompréhensible qu’une telle mesure soit envisagée dans une situation aussi drastique. sécheresse comme celle d’aujourd’hui.

Une controverse qui a eu un impact négatif sur l’image de cette fête religieuse, malgré le fait qu’il aucune confrérie n’a demandé une telle mesureL’administration régionale a envoyé la demande mercredi dernier à la Confédération hydrographique du Guadalquivir (CHG)qui appartient à l’État. Le ministre de la présidence lui-même, Antonio Sanza reconnu ce jeudi. Sanz a justifié la mesure par la nécessité pour les animaux qui composent les processions de pèlerinage de s’abreuver (bien qu’il y ait des abreuvoirs pour les bêtes à proximité du gué).



Soixante-deux confréries traversent cette enclave pour se rendre au village d’Almonte, certaines d’entre elles étant aussi nombreuses que les autres. Triana. Son frère aîné, Federico Floress’est montré catégorique en réponse aux questions de Diario de Sevilla sur la demande des principaux responsables du Plan Romero : « Triana n’est pas influencée par le fait que le Quema ait de l’eau ou non ».. Une affirmation qu’il explique ensuite. « Le gué de Quema n’est qu’un lieu de plus dans le pèlerinage de notre confrérie. Il sera passé ou non en fonction des circonstances, comme cela a toujours été le cas », dit-il.

La Confrérie de Séville

Cette confrérie rociera – la plus ancienne de la capitale andalouse – est la première à passer par le Guadiamar le vendredi du pèlerinage. Ce jour-là, la Confrérie de Séville. Un carrefour qui attire un grand nombre de spectateurs. Son grand frère, Gabriel Rojasconsidère que l’image actuelle du gué de Quema est « pitoyable ». « Ce n’est pas seulement une perception pour les rocieros, mais pour tous les citoyens », explique Rojas, qui souligne que « si c’est triste pour nous, ça doit l’être encore plus pour les agriculteurs, pour qui l’eau est fondamentale ». Il préfère ne pas commenter la mesure proposée par la Junta.

La CHG, pour sa part, continue de dialoguer avec les agriculteurs afin de de préciser les dates auxquelles l’eau devrait être libérée du réservoir d’Agrio pour irriguer leurs cultures.. Si elles coïncident avec le pèlerinage (dernière semaine de mai), les rocieros pourront passer le Quema avec un débit d’eau.

By Nermond

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