lun. Oct 7th, 2024

Cent ans d’existence  et il ne le montre pas. Ce petit trèfle vert  sur un triangle blanc est devenu le symbole de l’Union européenne. Alfa Romeo racing depuis qu’en 1923, en partie par plaisanterie et en partie par superstition, Ugo Sivocci a apposé cette marque sur la voiture qui a remporté la Targa Florio, la course la plus prestigieuse de l’époque. Outre Sivocci, les autres pétales de ce trèfle à quatre feuilles portaient des noms devenus illustres par la suite, comme Enzo Ferrari, Antonio Ascari et Giulio Masetti. Depuis lors, le symbole accompagne les voitures les plus emblématiques, à commencer par la Giulietta Ti de 1963, première voiture de route à porter le logo. Sivocci est décédé à Monza lors d’un essai et cette voiture n’avait pas le trèfle à quatre feuilles qu’il avait demandé et voulu. À partir de ce moment, le carré sur lequel il était peint est devenu un triangle, mais les quatre pétales sont restés pour témoigner d’un moment et d’une histoire uniques.

Moments et histoire qu’Alfa Romeo a exhumés pour l’exposition. versions spéciales de la Giulia et du Stelvio deux voitures aux antipodes l’une de l’autre : une berline sportive et un SUV avec du cran et de la méchanceté. Pour célébrer ce centenaire, il fallait quelque chose de plus qu’une simple remise en peinture de deux modèles emblématiques du Biscione, et c’est pourquoi, avec l’aide de l’ingénieur Domenico Bagnasco assisté de Matilde La Guardia, la barre des performances et du plaisir de conduire a été placée encore plus haut. Le moteur est le classique V6 de 2,9 litres porté à 520 ch, la boîte de vitesses ZF à 8 rapports avec différentiel mécanique et arbre de transmission en carbone. Conduite, sécurité, performances. Un mélange que les voitures du centenaire d’Alfa ont mis en évidence lors de l’essai sur piste, où il est possible de libérer toute la puissance et de comprendre jusqu’où va la tenue de route. De quoi ravir les palais les plus raffinés, à l’image de nombreuses voitures allemandes.

Après tout, la plate-forme sur laquelle sont nés les deux jumeaux différents est la meilleure en circulation parmi les modèles traditionnels sans électrification. Le tableau de bord est également nouveau, reprenant le design historique du « télescope », avec l’écran de contrôle. s Écran numérique TFT de 12,3 pouces.  Sur le Quadrifoglio, en plus des trois configurations (Evolved, Relax et Heritage) disponibles sur toute la gamme Alfa Romeo, la configuration exclusive « Race » fait son apparition, réunissant sur l’écran central les informations fondamentales que tout conducteur souhaite avoir sous contrôle : compte-tours, compteur de vitesse et écran de contrôle. shiftlight pour la conduite manuelle. La présentation peut être personnalisée en fournissant des informations supplémentaires sur les cadrans latéraux, y compris des informations sur les performances instantanées. Prix élevés : 95 300 euros pour la Giulia et 104 500 euros pour la Stelvio. La consommation ? Elles sont elles aussi à la hauteur des performances.

By Nermond

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