sam. Juil 27th, 2024

Avec opération transparence  qui débute demain, les citoyens pourront non seulement connaître le prix moyen des carburants – l’obligation d’afficher le prix moyen sur le panneau d’affichage de la pompe à essence prévue par le décret sur les carburants étant déclenchée – en choisissant de s’y ravitailler ou non, mais aussi le signaler sur le site web du ministère ou aux autorités compétentes. Le ministre de l’Entreprise et du Made in Italy, Alfonso Urso, tente de rassurer après la hausse des prix de ces dernières semaines , juste à temps pour les départs de l’été, en assurant que « avec cette opération de transparence supplémentaire, nous prévoyons de maintenir le prix en dessous des niveaux internationaux » et de réduire l’impact de tout changement. Nous commençons maintenant avec cette nouveauté, même si pour la réforme complète du système des carburants le ministre parle de la nécessité de « quelques semaines pour identifier les ressources et avec le ministère de l’économie et de l’environnement ». Dès demain, assure Urso, « nous présenterons aux associations, avec le ministre Pichetto et le sous-secrétaire Bitonci, le cadre réglementaire que nous avons l’intention de présenter pour donner une structure organisationnelle au secteur ».  de la distribution des carburants, en apportant des réponses attendues depuis longtemps ».

Pour sa part le gendarme des prix Benedetto Mineo  assure que « ce qui se passe va dans le même sens que le marché international. De ce point de vue, nous constatons qu’il n’y a pas de spéculation ». En outre, il annonce la publication, dans les prochains jours, d’un vade-mecum pour le consommateur sur les nouvelles concernant les carburants et les cartels avec le prix moyen.

Table des matières

Les nouveautés

A partir de demain chaque citoyen pourra vérifier lui-même si le prix de la station-service est conforme au prix moyen.  et peut alors décider de faire le plein. Si le prix s’écarte beaucoup du prix moyen, il peut le signaler au ministère sur le plafonnement des prix de l’essence », a souligné le ministre Urso lors d’une conférence de presse à la Mise aux côtés du superviseur des prix Benedetto Mineo, ajoutant que « le prix moyen à ce jour est de 1,91 euro pour l’essence et de 1,76 euro pour le gazole ». Les prix des carburants ont augmenté de « 4 centimes la semaine dernière ». , poursuit-il, expliquant que ces hausses « sont une conséquence de l’augmentation des cotations internationales, qui restent de toute façon loin de celles d’avant que nous ayons réussi à convaincre la Commission de l’UE sur le plafonnement du prix du gaz ». Par ailleurs, sur le fait de réduire les accises, le chef de service souligne que « cela a été fait par le gouvernement précédent pour la forte augmentation des carburants et du gaz pendant la guerre en Ukraine et ce n’est pas le cas aujourd’hui » car « nous pensons que les ressources publiques doivent être allouées là où il y a vraiment des urgences ».

Réactions

réactions immédiates des associations. Les affiches avec les prix moyens des carburants qui seront obligatoires dans toutes les stations-service à partir de demain « sont sans aucun doute un instrument de transparence mais, à elles seules, elles ne sont pas suffisantes pour avoir un effet apaisant sur les prix à la pompe », déclare l’association. Assoutenti,  demandant au gouvernement un effort supplémentaire en faveur des consommateurs. S’il est utile de donner aux automobilistes des informations sur les prix moyens des carburants, de nouvelles mesures doivent être élaborées pour stimuler la concurrence entre les opérateurs et inciter à une réduction des listes de prix », explique l’Assoutenti. Furio Truzzi.  Les innovations mises en place par le gouvernement ne sont pas non plus convaincantes s’insurge l’Union nationale des consommateurs, dont le président Massimiliano Dona :  « Fini les taquineries à l’égard des consommateurs ! Les hausses anormales des prix des carburants peuvent toujours être dénoncées et toutes les associations de consommateurs, à commencer par l’UNC, le font depuis des décennies. Dommage que personne ne les ait jamais sanctionnées, puisque le Parlement refuse de donner une définition des « prix anormaux ». Ce qu’il faudrait, selon lui, c’est plutôt une appli sur le service le moins cher « prévu par le décret-loi n° 5 du 14 janvier 2023, c’est-à-dire depuis plus de six mois, qui, celle-ci, serait très utile pour faire le plein à la station-service la moins chère de la région, contrairement au prix moyen qui, lui, donne des informations déformées et erronées ».

By Nermond

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