Les Les caisses d’épargne sevillanas (San Fernandoque je cite en premier, non par ancienneté mais parce que c’est un fils du corps et de l’esprit. Le Monte de Piedad) a joué un rôle important dans la vie de Séville, non seulement sur le plan financier, mais aussi sur le plan culturel. On se souvient encore aujourd’hui de ses expositions de confréries, tant sur la Plaza de San Francisco, dans l’ancien bâtiment de la Audiencia, que dans le moderne Villasís, et de ses catalogues, objet de convoitise pour les collectionneurs de l’époque.
(Juillet 1992 : Luis Becerraconservateur de plusieurs très bonnes expositions à la Caja San Fernando, enseigne Les splendeursentre autres, à Ignacio Montaño et à Ramon Pineda).