mer. Avr 24th, 2024

Le candidat du PP à la mairie de Séville, José Luis Sanza salué la dernière décision de l ; Cour administrative économique centrale   qui a soutenu le Conseil des Confréries dans son argumentation sur la exonération de la TVA pour le fonctionnement de la Carrera Oficial, un fait qui « profitera aux abonnés et aussi aux confréries, importantes entités d’action sociale dans la ville de Séville ». Dans cette optique, M. Sanz lui-même a prévenu que « les confréries et les abonnés de Séville ne comprendraient pas que le Trésor public fasse à nouveau appel de la TVA sur les chaises si les tribunaux ont à nouveau donné raison au Conseil, aux confréries et aux abonnés ».

« Si le PSOE de Sánchez et Montero fait une fois de plus appel aux tribunaux pour imputer la TVA aux confréries sur des bases idéologiques contraires à ce que dit le Tribunal économique, un fait que serait inhabituel pour la semaine sainte à Séville, J’espère que le maire socialiste Muñoz soutiendra les confréries et cette énième résolution judiciaire en faveur des confréries et des abonnés des chaises ».



Le candidat du PP à la mairie de Séville, José Luis Sanz, demande à Muñoz « de ne pas s’aligner sur le gouvernement de Pedro Sánchez et la ministre des Finances, María Jesús Montero, dans son discours d’investiture ». bataille idéologique pour récupérer cet argent auprès des confréries. et les utilisateurs de la Carrera Oficial ».

Sanz a porté l’affaire devant le Sénat

Le passage mois de juin, M. Sanz a déjà adressé des reproches à la ministre des Finances, María Jesús Montero, lors de la séance de contrôle qui s’est tenue au Sénat, où il l’a interrogée  » sur les raisons pour lesquelles le ministère des Finances et de la Fonction publique continue d’insister sur le fait que l’utilisation de chaises et de caisses pour assister à des processions est soumise à la TVA « .

José Luis Sanz déclarait à l’époque que les confréries et les sororités de Séville « ne comprennent pas la les persécutions qu’ils subissent de la part des autorités fiscalesmalgré le fait que le tribunal administratif économique régional d’Andalousie leur a déjà donné raison à deux reprises ».

Dans cette optique, le sénateur populaire a expliqué que depuis 2002, « ce tribunal considère que les confréries sont des entités qui, sans être des entités privées à caractère social, bénéficient du même régime fiscal que celles-ci. Pour cette raison, le Conseil des Confréries de Séville a bénéficié de cette exemption avec une sécurité juridique. ce qui est prévu non seulement par cette décision de 2002, mais aussi par le retrait ultérieur du Trésor après son recours, acceptant la décision de la Cour d’Andalousie ».

By Nermond

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